• Suite à mes visites successives (scintigraphie, Unité d'évaluation de la douleur, Clinique de la main) j'ai une idée plus précise sur l'origine et le devenir de mes douleurs.

    En fait, je souffre d'une algodystrophie, appelée maintenant SDRC (Syndrome Douloureux Régional Complexe) de la main droite, résultant soit de mon infection au doigt, soit de l'opération qui a suivi. Dans un cas comme dans l'autre, j'ai beaucoup souffert et cela a pu être l'élément déclancheur de ce SRDC.

    J'ai aussi des douleurs au niveau du bassin, et plus précisément en rapport avec toute la zone "pubienne" et les muscles qui y sont rattachés. Ces douleurs sont très génantes en position allongée (ce qui me réveille la nuit) et lors de certains footings où j'essaie d'accélérer. En revanche, je ne ressens aucune douleur à la marche et lors de mes sorties à vélo.

    L'entraînement est donc "réduit", surtout en ce qui concerne la course à pied.

    Actuellement, je cours 3 à 4 fois par semaine, entre 40' et 1h20', à 9/9,5km/h en moyenne. J'ai tenté de reprendre le fractionné sous forme de 30/30ais cela s'est vite avéré douloureux à très douloureux d'où l'arrêt de ce type d'entraînement. Lors de mes sorties courtes en endurance, je n'ai pas mal pendant la majorité du temps, mais souvent la fin du footing est difficile avec la réapparition progressive de la gêne et de la douleur, même si celle-ci n'est pas très intense.

    Donc, afin de ne pas perdre trop de mes capacités cardiovasculaires, j'effectue des sorties à vélo (un VTC) de 45' à plus de 2h. Selon mon emploi du temps, je fais entre 2 et 5 séances de vélo par semaine, dont certaines entre 40 et 50km.

     

    Dans les deux situations (SDRC et douleurs au bassin), c'est la douleur qui entretient la "maladie". Donc, il faut que je fasse travailler ma main, par exemple, sans créer la douleur, et c'est le même principe qui doit primer lors de mes activités physiques de course en particulier.

    Quand dois-je espérer guérir ?

    Pour le SDRC, l'échéance se compte en mois (de 18 à 36); la totale rémission n'est cependant pas assurée, je dois m'attendre à conserver des séquelles.

    Pour bassin, en semaines.

     

    à+Fab****


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