• CR des 24 heures de Séné 2011

     

    CR des 24 heures de Séné – Championnats de France 2011 – 24/25 Avril 2011

     

    L’avant course

     

    C’était la 3ème fois que je courais les 24 heures de Séné et, après un record lors de ma première participation en 2008 à 191 km suivi d’une seconde participation en 2010 à 157km, j’espérais pouvoir bénéficier de toute mon expérience sur le double tour d’horloge (7ème 24h : 191km, 190,7km, 177km, 67km ( ?), 137km et 157km)) pour augmenter ma marque et la faire passer à 195km. L’entraînement intensif de ces derniers mois, les résultats des compétitions intermédiaires et le fait de venir en Bretagne avec ma famille ont contribué à me conforter dans la détermination de cet objectif. De plus, je tenais à marquer les 18 points FFA pour mon club.

    Les incertitudes concernaient d’abord ma faculté à gérer la nuit, car lors de mes deux derniers 24h l’appel du sommeil fut plus fort que l’appel de la route, ensuite à supporter les douleurs qui ne manqueraient pas de venir s’installer progressivement (bursite, tendinite d’Achille, irritations aux pieds avec la moitié du parcours effectuée sur des chemins et routes avec des gravillons, frottements du maillot, du short, du cardio ou du porte dossard…), et enfin à ne pas subir les effets de la météo avec le beau temps annoncé, ensoleillé et parfois chaud en journée, venteux et frais la nuit.

    J’avais réservé un cottage au camping de Séné afin d’y passer le week-end de Pâques et la semaine qui suivait et donc de pouvoir passer une bonne nuit avant le départ pour me présenter dans un bon état de fraîcheur au départ de la course. Afin que ma famille puisse venir m’encourager et aussi aller se promener pendant que j’enfilerai les tours, j’avais choisi l’option proximité : du départ (800m), du parcours (2000m), de la mer et des chemins de randonnée (100m).

    Quand nous sommes arrivés de Nantes, samedi en fin d’après-midi, les gros nuages qui nous avaient accompagnés sur les derniers kilomètres de notre voyage se sont soudain libérés et nous avons eu droit à un bel orage. Je pensais qu’il ne faudrait pas que cela se reproduise le lendemain, pendant la course. Une heure de pluie bien dense après, le calme était revenu et j’ai pu aller retirer mon dossard et jeter un coup d’œil au parcours et à ses petits changements. Cette année, on allait passer dans le gymnase ce qui serait mieux pour les bénévoles, abrités. La longueur du parcours passait à 1400m ce qui faisait un compte rond pour un « calculateur perpétuel » comme moi. J’avais déjà appris la table de 14 et savais donc qu’au bout de trois tours on aurait fait 4,2km et par voie de conséquence que le marathon serait atteint en 30 tours. 5 tours = 7km, 6 tours = 8,4km, je me disais que le repère d’un tour en 10’ serait aisément mémorisable et qu’en cas de baisse de l’allure, un tour en 12’ me ferait garder du 7km/h de moyenne : donc j’aurais des points de repère facilement identifiables.

    Coïncidence ou pas, je récupérais le dossard N°22, comme celui que je porterai sur la prochaine TransEurope et comme un petit clin d’œil à l’ami Gwen Quéant parti faire la traversée du Canada en courant dont c’est le N° de département. Ah ! Parfois on s’attache à de drôles de choses.

     

    J’ai rencontré plusieurs coureurs certains que je connaissais déjà et d’autres dont je faisais enfin la connaissance. Je ne vais pas tous les citer, je commence à en connaître beaucoup et j’ai peur de vexer ceux que je n’aurais pas nommés. Un rapide coup d’œil sur les lieux de ravitaillement et je trouvais ma future place, là où le lendemain je pourrais entreposer mon ravitaillement personnel. Je scotchais sur la table du stand de ravitaillement individuel une feuille avec mon nom et N° de dossard. Si j’avais le droit de stationner ma voiture juste à côté, ce serait nickel, pensai-je alors. J’étais entouré à gauche par les emplacements d’Alain David et d’Hervé Bec, deux fidèles circadiens et à droite par deux coureurs de Libourne.

     

    Le jour J

    Après une bonne nuit, même si je ne fis pas le plein de sommeil,  je me levai, pris mon petit déjeuner – il était 7h – je me mis en tenue, hésitant quelque peu entre le short et le cuissard, optant finalement pour ce dernier. Je n’oubliai pas de me mettre de la crème protectrice aux pieds, de fixer la puce à la cheville (système velcro), et de préparer les diverses affaires dont j’aurai besoin.

    Nous nous rendîmes, ma femme et moi, sur le parking du stade, ayant l’autorisation de stationner juste là où j’avais réservé mon emplacement : j’étais content de savoir qu’à tout moment je pourrais accéder à mes tenues de rechange. Il était 8h et le départ aurait lieu dans deux heures, mais à 9h15 on devrait aller à pied rejoindre la ligne de départ située dans le bourg de Séné, à 1400m, ça laissait le temps de s’installer et de procéder aux derniers réglages. Il faisait encore frais, les rayons du soleil n’ayant pas encore atteint une grande puissance, mais nul doute qu’on aurait à s’adapter à ce beau temps. Je me rendis compte que je n’avais pas pensé à la crème solaire ; tant pis, on verrait bien au fil des heures.

    Le cortège se mit en route pour rallier la ligne de départ, empruntant à contre sens le parcours du tronçon de jonction entre le site du départ et le circuit : le bras de mer, les presqu’îles, les zones marécageuses et toute la faune et la flore rendaient le paysage de toute beauté par cette matinée ensoleillée d’avril. On se serait cru en juillet ! Une boulangerie était ouverte et Pascale alla m’acheter un dernier flan pour la route, j’avais pris mon petit déjeuner depuis assez longtemps et j’avais de nouveau faim. Avec JBJ et d’autres coureurs nous nous souhaitions une bonne course, on nous appela pour nous placer derrière la ligne blanche de départ puis le maire fit un petit discours. A la fin de celui-ci, il donna le coup d’envoi à 10h précises. Je mis en route tous mes appareils enregistreurs : GPS, cardio, chrono, et me rendis compte que le GPS n’avait toujours pas localisé l’endroit ! Pourvu qu’on ne se perde pas dans le Golfe ! plaisantai-je. Le peloton s’ébranla dans les petites rues de Séné puis s’engouffra dans un chemin de randonnée pour descendre de manière assez abrupte vers le bord de mer que nous allions longer afin de rejoindre le parcours des 24h.

     

    La course

                   

    1er passage sur la ligne de pointage en 8’46 (et 1400m) et succession de tours effectués entre 8’ et 9’30. Après quelques inquiétudes, sans fondement, sur le pointage exact des tours (on n’entendait pas toujours le bip alors que le passage était néanmoins pris en compte) je rentrai peu à peu dans mon 24h.

    1ère heure : 6 tours (8,4km en 53’40)

    2ème heure : 7 tours => total 13 tours (18,2km en 1h56’31)

    3ème heure : 7 tours => total 20 tours (28,0km en 2h58’32)

    Jusque là, tout allait bien, je tournais certes un peu rapidement, mais je me sentais bien ; la FC moyenne entre 115 et 120 pendant 1h30 était passée entre 120 et 130 lors des 1h30 suivantes, conséquences du soleil de la chaleur qui commençait à augmenter malgré un petit vent et peu à peu certaines zones d’ombres rétrécissaient. De nombreux arrêts pour uriner traduisaient ma bonne hydratation d’avant course et me permettaient de régler mon allure et de ne pas tomber dans l’euphorie qui semblait avoir gagné le peloton : j’avais l’impression de me trouver dans une compétition de Formule 1 avec ma « Deudeuche » ! Que les premiers me dépassent toutes les 25 à 30’, c’était dans le domaine du normal, vu l’écart de niveau, mais quand j’ai vu que tout le monde, ou c’était l’impression que j’avais alors, me doublait et me redoublait, j’étais dans la peau des Dupondt dans Tintin au Pays de l’Or Noir, quand ils descendent de la jeep croyant qu’ils étaient arrêtés…

    Mais j’allais descendre moi aussi de la jeep quelques minutes plus tard. Pendant la 4ème heure, après 3h23’ de course pour être précis, je connus un nouvel épisode de montée brusque de mon rythme cardiaque et dus m’arrêter m’asseoir à mon stand dans un premier temps puis m’allonger dans la salle les jambes en l’air par la suite. 15’ plus tard, ce malaise était passé et je pus reprendre la course. La FC était montée jusqu’à 196.

                    4ème heure : 5 tours => total 25 tours (35,0km en 3h57’12)

    Peu après le début de la 5ème heure, le rythme cardiaque recommença à monter en flèche et m’obligea à nouveau à m’allonger, cet arrêt ne durant qu’à peine 10’ (FC maxi 197). Je repris la course en me disant qu’avec de nouveaux arrêts du même style je n’allais pas monter en kilométrage et que j’aurais dû apporter mes Sudoku.

                    5ème heure : 5 tours => 30 tours (42,0km en 4h53’47)

    Enfin un premier marathon de fait.

                    6ème heure : 6 tours => 36 tours (50,4km en 5h53’49) Passage aux 50km en 5h52’.

                    7ème heure : 5 tours => 41 tours (57,4km en 6h51’49)

    Le soleil avait bien rougi tout mon corps, enfin, les parties exposées à ses rayons et avec mon futur beau bronzage « Marcel » j’imaginais les regards amusés des gens quand je devrai aller à la piscine. Pour le cuissard, il y avait déjà eu des prémices de bronzage « cycliste » le week-end dernier lors du marathon de Nantes. L’astre diurne avait tourné peu à peu et les portions ombragées et exposées au vent me donnaient une impression de frais voire de froid. J’avais peur d’attraper du mal après avoir pris autant de coups de soleil si bien que je me décidai de m’arrêter enfiler un t-shirt sous mon débardeur de club ainsi que de protéger mes bras en enfilant mes manchons, ceux gagnés à Aulnat (coucou Droopy).

                    8ème heure : 5 tours => 46 tours (64,4km en 7h52’24)

    Je tournais depuis un bon moment entre 10’30 et 12’30 au tour mais la FC était bien redescendue, aux alentours de 120/125 de moyenne.

                    9ème heure : 5 tours => 51 tours (71,4km en 8h51’54)

                    10ème heure : 5 tours => 56 tours (78,4km en 9h49’01)

    Second marathon en 5h45’59, deux marathons en 10h39’46.

                    11ème heure : 5 tours => 61 tours (85,4km en 10h50’35)

    Après 11h de course je me décidai à effectuer un arrêt aux stands afin de passer ma tenue de soirée, enfin plus précisément ma tenue pour la nuit : je conservai le même cuissard mais je mis un maillot sec, un sweat-shirt et mon coupe-vent de club. Je me couvris la tête d’un bonnet léger. Je changeai aussi de chaussures après m’être fait masser et badigeonner les pieds de Nok par Pascale : que ça faisait du bien et c’était moins douloureux que de le faire soi-même. Je fus soudain pris de tremblements de froid incontrôlables si bien que cela inquiéta mon entourage. Ce moment désagréable passa vite, tout comme cet arrêt qui passa trop vite tellement il me faisait du bien  même si je pris le temps de m’alimenter d’une nouvelle petite purée avec du jambon ainsi qu’avec un peu de gâteau de riz au caramel. J’avais aussi entamé mon stock de panachés depuis la fin d’après-midi, me délectant du pétillant sucré ce qui changeait de mes petites bouteilles d’eau sucrée que Pascale me remplissait au fur et à mesure que je les terminais, ce qui à la longue ne me faisait pas perdre de temps à les remplir moi-même.

                    12ème heure : 4 tours => 65 tours (91,0km en 11h51’44)

    Je repris ma course et je fus agréablement surpris de voir l’ami Bérurier (alias Emmanuel, ou l’inverse, l’alias) venu spécialement voir la course avant de reprendre la route de Nantes vers minuit. Je suis sûr qu’il était venu en reconnaissance avant de se lancer lui aussi dans l’aventure (Oui, oui, fonce béru). J’aperçus aussi Philippe, rencontré sur la MiniMil’Kil de 2009 avec qui j’avais flâné sur les routes millavoises faisant le terrasses des bars à St Rome du Tarn ou autres villages de la région. Toutes ces rencontres me redonnèrent du cœur à l’ouvrage et sachant que ma famille allait passer la nuit au camping pour me retrouver tôt le lendemain matin, je me mis en configuration « musique » afin de faire passer les kilomètres plus rapidement. Je me débarrassais de mon GPS qui arrivait en fin d’autonomie et pris mon second chronomètre Casio.

                    13ème heure : 5 tours => 70 tours (98,0km en 12h50 environ)

    Passage aux 100km en 13h12’

                    14ème heure : 5 tours => 75 tours (105,0km en 13h58’26)

     

    Bonne nouvelle pour les allergiques aux chiffres et aux maths, à partir de ce moment dans la course, je n’ai pu enregistrer que les temps de passage tous les 2 ou 3 tours et extrapoler  ceux qui précèdent l’heure complète avant mise à jour plus précise :

     

    78t = 14h44’58 = 109,2km

    15ème  heure : 4 tours => 79 tours (110,6km en 14h58 environ)

    81t = 15h24’41 = 113,4km

    84t = 15h57’06 = 117,6km

                    16ème heure : 5 tours => 84 tours (117,6km en 15h57’06)

    87t = 16h32’09 = 121,8km

                    17ème heure : 5 tours => 89 tours (124,6km en 16h55 environ)

    90t = 17h10’29 = 126,0km. Troisième marathon en 6h13’54.

                    18ème heure : 4 tours => 93 tours (130,2km en 17h51’56)

    96t = 18h21’02 = 134,4km

    19ème heure : 6 tours => 99 tours (138,6km en 18h49’26)

    102t = 19h21’19 = 142,8km

    103t = 19h31’44 = 144,2km

                    20ème heure : 6 tours => 105 tours (147,0km en 19h55 environ)

    106t = 20h10’26 = 148,4km

    108t = 20h38’14 = 151,2km

                    21ème heure : 4 tours => 109 tours (152,6km en 20h50 environ)

    111t = 21h09’13 = 155,4km

    114t = 21h40’23 = 159,6km

                    22ème heure : 6 tours => 115 tours (161,0km en 21h51 environ)

    119t = 22h32’11 = 166,6km

    120t = 22h41’51 = 168,0km (quatrième marathon en 5h31’22)

                    23ème heure : 6 tours => 121 tours (169,4km en 22h52 environ)

    125t = 23h30’59 = 175km

                    24ème heure : 7 tours + 65m => 128 tours + 65m = 179,265km.

     

    Après la lecture de cette fastidieuse série de chiffres qui sera précisée avec les prises de temps officielles et à laquelle j’ajouterai mon classement au fil des heures, je me souviens avoir regardé à chaque passage ma position au général. Dès le début de l’épreuve, j’étais loin dans les profondeurs du classement, après la 80ème place voire même pendant une certaine période au-delà de la 100ème place. C’est que ces championnats étaient très relevés et aussi certains coureurs se sont jetés dès le début dans une course folle du style « ça passe ou ça casse ». Au vu de ma remontée au classement (je termine à la 33ème place), ça a beaucoup cassé.

    L’entrée dans la nuit sur ce genre d’épreuve s’accompagne souvent d’une grande baisse de fréquentation du circuit par les coureurs, certains effectuant de longues pauses pour se changer et se restaurer, d’autres pour dormir un peu parfois beaucoup. Certains se sentant trop loin des objectifs fixés se résignent et cessent de lutter. Moi pas.

    J’avais assez dilapidé mon temps entre tous mes arrêts pour continuer de me reposer, alors j’ai profité de ce que le circuit soit moins densément peuplé pour tailler la route et enfiler les kilomètres et, mine de rien, pendant qu’on court, on fait augmenter son score et je voyais peu à peu mon classement s’améliorer. Certes il y eut aussi quelques abandons de coureurs que le soleil avait usés et à qui il avait oté toute envie de continuer le calvaire d’autant que des problèmes gastriques étaient venus s’ajouter aux douleurs musculaires et tendineuses. L’hydratation que certains pensaient correcte, la perte de quantité de sels minéraux et d’autres facteurs plus complexes sont venus annihiler toute velléité de poursuite de la compétition.

    Je me faisais doubler moins souvent que lors de la partie diurne de ces 24h et en revanche c’est moi qui dépassais nombre de coureurs qui avaient néanmoins une large avance sur moi. Je n’était plus la « Deudeuche » du début ou alors c’étaient les F1 qui s’étaient transformées.

    Dans la journée, on avait été encouragés et même acclamés lors de chacun de nos passages sur la ligne de pointage et sur le parcours aussi et, pendant la nuit, au passage devant les stands cela était devenu un rituel très apprécié. Les bénévoles, que je remercie aussi de tout mon cœur pour leur gentillesse et leur dévouement, ont été des acteurs indispensables contribuant à la bonne tenue de cette course.

                    J’ai eu la chance et le privilège, comme tous les autres coureurs présents sur le circuit, et comme les spectateurs, d’assister à un grand championnat, de vivre le suspens en direct de l’intérieur. On voyait les gars de tête nous dépasser et d’un rapide coup d’œil on sentait s’ils étaient encore bien ou s’ils commençaient à piocher et dans la nuit, quand j’ai vu à certains moments que j’en doublais certains je me posais des questions en leur souhaitant de vite se reprendre. J’ai beaucoup apprécié les petits mots de certains d’entre eux qui, malgré la course et la tension, n’oubliaient pas de nous encourager. J’ai assisté au coup de moins bien de Jean Marc au retour progressif de Ludovic sur lui, à la folle remontée d’Emmanuel et au dépit de Denis récoltant la plus mauvaise place dans l’histoire, et à la chevauchée finale du futur vainqueur.

                    Je suis fier aussi d’avoir vécu ces championnats, avec autant de coureurs au-dessus de 250km, avec autant de coureurs au-dessus de l’ancien record détenu par Dominique et je suis admiratif devant la performance d’Alain David qui était détenteur d’un record à 187km jusqu’alors et qui est passé à plus de 230km. En rêvant un peu, mon record étant de 191km… Je rigole !

     

                    Je suis allé recourir mardi soir, depuis le camping pour me refaire un petit tour de circuit en empruntant le chemin dans le bas de Séné puis le parcours que j’avais fait 127 fois. Une 128ème boucle pour le fun et pour me rappeler que j’ai vécu ici un autre grand moment de vie comme la course à pied peut nous en faire vivre.

     

    A+Fab*****

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  • Commentaires

    1
    "le Loup Aux Pi
    Mercredi 27 Avril 2011 à 23:28
    Salut Fab***** vraiment sympa ton CR. Comme tu le dit si bien de "Deudeuche" en F1 Pour moi ce fut l'inverse en fait,car j'ai beaucoup marché passé 12h , du à un échauffement sérieux sous la plante des pieds !!
    Heureusement que cela me gène pas la marche !! En tous cas je garde moi aussi un très bon souvenir de ce 24h chez Bruno.
    je reviendrai en 2012 pour ma 7ème participation, ça c'est sur!!!
    Au plaisir de se revoir en juillet sur la gégé.
    Steph!*
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