• CR étape 18 : St Pons de Thomières – Moussan (61km)

    Avant-dernière étape de cette Transe Gaule 2014, rien n’a changé dans le rituel de préparation, il fallait juste être prêt un tout petit peu plus tôt pour se rendre au départ en navette. Il faisait doux dans la pénombre et le jour n’allait pas tarder à se lever. Le ciel était partiellement dégagé, mais on devinait qu’il n’allait pas faire trop chaud tout de suite.

    Le départ donné, un bon groupe me précéda et je ne souhaitais pas me mettre dans le dur trop tôt car la montée vers le Col de Sainte-Colombe, je la connais bien et je sais qu’après 1500m de descente ou de plat, ça monte d’abord tranquillement et que parfois ça monte un peu plus fortement. Je contrôlais mon allure au GPS et constatais que j’étais à moins de 9,5km/h. L’objectif de cette étape était de tourner au moins à 9,7 pour ne pas faire baisser la moyenne générale. Mes compagnons de route à ce moment étaient Stephano, Yvonnick, Patrick, Carmen, Alain. Les autres, Stéphane, Angel, Hervé, les deux Taïwanais et René avaient creusé l’écart. Je les apercevais au loin quand la route tournait et qu’on voyait l’autre flanc de la montagne.

    Le franchissement du col en 1h04’ pour 9,6km m’obligea à allonger la foulée dans la descente et je fis remonter cette satanée moyenne après laquelle je cours aux alentours de 9,6 en bas de la 1ère descente puis après un petit raidillon qui me permit de bien m’alimenter avec un Lion que je dévorais la crinière incluse (je rigole) je repris ma belle allure de descendeur pour atteindre Boisset km 18,6 en 1h54’. Je titillais les 10 de moyenne au pied d’une longue montée vers un panorama sur toute la partie sud du département et au-delà même. Par contre, pas de mer en vue, des nuages bouchaient l’horizon lointain. La montée fut difficile, mais je refaisais mon retard sur mes compagnons ou je creusais encore plus l’avance que j’avais sur eux. Angel avait été déjà repris bien avant cette montée.

    Arrivé en haut de cette belle montée où le paysage était tout aussi magnifique que celui de la descente, je savourais l’idée de pouvoir remettre une accélération dans la descente vers Minerve. Du 12km/h environ pour atteindre ce village faisant partie des plus beaux villages de France (c’est la pancarte qui le dit et c’est vrai que c’est joli). Minerve, km 28,6 en 2h53’, on l’a traversé, JB nous ayant concocté un petit détour de derrière les fagots. Je me suis régalé de ce beau site, de son canyon et de ses belles vieilles bâtisses. En en ressortant, Patrick me rattrapa et nous arrivâmes ensemble au ravitaillement N°2 puis au loin nous avons aperçu René et l’un des deux Taïwanais qui ne devaient plus compter que 5 à 6’ d’avance.

    La Caunette, km 32,9 en 3h20’ puis le retour de l’alternance montée-descente dans le vignoble du Minervois, Paguignan, km 39 en 3h57’ et enfin Bize-Minervois, km 47 en 4h47’… Pendant toute cette longue partie, je n’ai pas cessé de lutter contre moi-même, je voulais arriver au début de la dernière portion plate avec un matelas conséquent sur mes prévisions. Objectif atteint, je quittais le dernier ravitaillement au km 51 après 5h11’ de course. Plus que 10km et j’avais rejoint René, suivi de près par Alain tandis que Patrick produisit son accélération habituelle de fin d’étape. Je suis resté en meneur d’allure avec mes deux compères pendant 5km puis au train, j’ai continué et les ai lâchés.

    Je finis l’étape à la 5ème place en 6h08’01s soit mieux que l’an dernier (de près de 2’). Hervé gagne, devant Stéphane, Patrick auteur d’une belle fin d’étape lui permettant de faire un podium, puis le « grand » Taïwanais. Ensuite, c’est moi suivi de René et Alain, Yvonnick, Stephano et Carmen. Pour la suite du classement, voir Yanoo.

    Demain, courte étape de 40km nous menant à Gruissan en passant par le Massif de la Clape où l’on risque de retrouver de la circulation. Départ à 7h, arrivée des premiers vers 10h15 (ou avant) et des derniers pas après 14h, cut-off oblige. Pour ma part, deux options : course peinarde pour finir sur un mode plaisir ou course en moins de 3h55’ pour faire mieux à la moyenne que l’an dernier.

    Aurai-je le temps de rédiger un dernier CR, même succinct, demain soir ? On verra.

    à+Fab******€*


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  • CR étape 17 : St Sernin sur Rance – St Pons de Thomières (69km) (D+1500m)

    Belle étape au niveau des paysages rencontrés comme prévu, avec un lever de soleil sur les massifs montagneux tandis que les bancs de brume recouvraient le fond des vallées.

    En revanche, j’ai eu du mal à rentrer dans cette longue chevauchée vers St Pons. Départ sur un nouvel itinéraire fait de montées et de descentes aussi raides les unes que les autres, puis jonction avec le parcours classique, le tout nous faisant « économiser » 500m sur la distance totale ramenée pour l’occasion à 68,5km.

    Je commençais à retrouver un peu de jambes dans la longue montée vers le premier col, mais je sentais que j’étais à la limite et que je n’avais pas de réserve de puissance pour accélérer une fois bien rentré dans l’étape. De plus, quelques petits désagréments gastriques me contraignirent à faire un court arrêt, court arrêt qui permit à deux coureurs de passer devant moi (Yvonnick et Stephano) et aux trois autres partis devant (Hervé, René et Carmen) de creuser un peu plus les écarts. Le groupe des 5 premiers de la veille était parti 30’ après nous, je savais qu’il n’allait pas déjà me reprendre tout ce temps.

    La montée qui me paraissait interminable se termina enfin quand je suis arrivé au col de Peyronnenc où il y avait le ravitaillement N°1 en 1h50’ pour seulement 16,4km. La moyenne était inférieure à 9km/h ! Il fallait vite se reprendre. J’avais rejoint Yvonnick et Stephano avec qui j’allais faire l’accordéon pendant les 12 km suivants selon que la route montait ou descendait. Le second col, de Sié, atteint en 3h05’ pour 28,7km, précédait une courte mais très forte descente vers Lacaune où le ravitaillement N°2 était installé. Ce fut le point de départ de la seconde partie de l’étape : 3,5km de montée vers le col du Picotalen (km33 en 3h40’) suivis par une longue descente vers la Salvetat sur Agout (celui de l’eau pétillante). Cette partie était en pente douce au début, avec un revêtement grossier recouvert de graviers puis cela s’amplifia et le changement de département – on arrivait dans l’Aude – fit que le route devint un beau billard bien lisse. Je pus allonger la foulée et commencer mon opération « repasser au-dessus des 9km/h de moyenne ». Le ravitaillement N°3 me permit de rattraper Carmen, toujours accompagné de Stephano et Yvonnick. La Salvetat, km48 en 5h05’ marqua alors le début de la 3ème partie de l’étape : une forte et longue montée vers le col suivant, celui de la Baraque km 54,2 en 5h55’. J’ai alterné course et marche, distançant Stephano sur le chemin raide du début mais restant à une distance raisonnable d’Yvonnick que je rattrapais de temps à autres.

    Le dernier col (le Cabaretou km 58,6 en 6h21’) constituait le début du dernier des 4 tronçons que je m’étais découpés avant l’étape et cette dernière partie constamment en descente pendant 10km fut propice à faire remonter la moyenne. 48’ pour descendre 10km, j’avais mené un bon train et j’arrivais à St Pons en 7h12’56s pour 69km. 8ème place de l’étape, derrière Yvonnick, René, Hervé (qui gagne l’étape) et 4 des 5 du second groupe.

    Un beau temps devenant chaud par endroits, comme si un énorme ventilateur pulsait des volutes d’air tiède, quelques parties ombragées apportant de la fraîcheur, un beau ciel bleu, un horizon dégagé… un paysage de vacances et de carte postale s’était offert à nous pendant toute la journée. Cela fait oublier que ce ne fut pas facile du tout, mais après une bonne nuit de repos, je repartirai frais comme les autres matins.

    Demain, avant-dernière étape de 61km entre St Pons et Moussan, via le col de Sainte-Colombe et Minerve et le long d’un bout du canal du midi. Ça va encore être beau mais peut-être dur car le vallonnement y est encore conséquent.

    à+Fab******€* 


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  • CR étape 16 : Cassagnes-Begonhès – St Sernin sur Rance (56km avec l’arrivée à la MFR)

    Au petit matin dans le hangar encore baigné dans la nuit, les coureurs et bénévoles se sont peu à peu réveillés. La lumière n’était pas encore allumée, mais déjà les « matinaux » commençaient leur longue et minutieuse préparation afin de prendre le départ de cette nouvelle étape, la 16ème, courte de 56km (54 + le nouveau site d’arrivée situé à près de 1500m au-delà de l’ancienne ligne d’arrivée).

    Ce rituel matinal, chacun l’a optimisé, comme des robots encore engourdis par les efforts des jours précédents, par la nuit pas trop fraîche mais pendant laquelle on a pu mesurer que les fortes pluies résonnaient sur le toit du hangar dans lequel nous avions pris place. Le linge de la veille, lavé et étendu n’avait pas séché totalement, on le mettrait ce soir si la météo le permet.

    Le petit déjeuner, ritualisé lui aussi, avec café noir ou au lait ou thé, c’est selon l’appétit de chacun, accompagné de tartines de pain tranché ou de pain frais tout chaud venant de chez le boulanger local. Pour ma part, je n’ai pas d’appétit pour le pain et la confiture, je me suis donc acheté quelques jours auparavant des pains au chocolat et j’ai une réserve de Nutella dans ma valise au cas où. J’ai prévu que mon stock dure jusqu’à Gruissan, c’est dire que j’en ai encore une bonne dizaine à dévorer. J’avais préparé mes bouteilles la veille (lavage, rinçage et remplissage aux 9/10èmes d’eau) je n’avais plus qu’à leur ajouter du sirop : en ce moment c’est pamplemousse, le citron m’ayant donné quelques aigreurs d’estomac ces derniers jours et j’ai en réserve une bouteille de sirop de framboise.

    Je passe ensuite au pliage du sac de couchage, au rangement des sacs annexes, ceux qui me permettent de « délayer » tout le bazar que j’emmène mais qui disparaîtront dès la fin de la Transe Gaule. J’applique ensuite mes pansements protecteurs sur les tétons afin de ne pas avoir de brûlures en fin de journée. Je mets les chaussettes et les chaussures, sans mettre de crème, plus besoin, les pieds sont « tannés » par les presque mille bornes de faites depuis Roscoff. C’est ensuite le tour du lit de camp d’être plié et rangé dans le camion. J’enfile mon sac à dos que je remplis : papier wc, crème solaire (écran total pour protéger les nouveaux tatouages), deux mini Bounty, un Lion, mes deux bouteilles d’eau avec du sirop et mon mini roadbook que j’ai de plus en plus de difficultés à lire, mes bras n’étant plus assez grands pour une lecture de loin. Mais, je le connais par cœur et il sert plus à me divertir qu’à me guider.

    Voilà, j’ai fait le tour du rituel quotidien et déjà retentissent les coups de sifflet  de JB, le race director, afin de procéder au briefing.

    Ensuite, c’est le moment de caler les GPS, puis le coup de sifflet marquant le départ est donné. Bien sûr, pour une fois, mon GPS n’a pas trouvé de satellite et je suis bon pour utiliser mon GPS intégré, celui qui me permet de connaître ma position pendant l’étape (que j’ai déjà courue plus de 7 fois pour celle-ci, car lors de la TransEurope nous avions emprunté cet itinéraire).

    Je suis parti dans les premiers, comme d’habitude, et vite j’ai vu que le train n’était pas si rapide que les jours précédents. La route montait pendant 5km, ça calme les éventuels kamikazes ! Par la suite, les Taïwanais, Stéphane et Angel se sont détachés, suivis de Carmen, Patrick, René, Stephano et moi. Derrière ça suivait pas très loin, mais je ne me retourne pas pour vérifier qui suit et qui est lâché.

    Le bornage de la route n’était pas très régulier et quand j’ai attient le haut de côte, j’étais à plus de 10 de moyenne. En réalité, je ne devais être qu’à 9,5 d’autant plus que j’ai eu une petite alerte qui m’a fait marcher une petite minute. Dans la descente, j’envoyais les kilomètres en moins de 4’, mais ces km ne faisaient que 900m et lors que j’ai atteint le premier point de repère kilométrique, La Selve au km 7,7 en 47’ j’ai vu que j’étais sur un bon tempo mais pas aussi fantastique que les bornes kilométriques me le laissaient penser. Le ravito N° au km 13 ; après une autre montée, me confirma ma bonne marche (1h18’) et mon nouveau point de repère était prévu à Réquista au km 19 (1h56’) après une bonne montée. Après Réquista, la descente vers Lincou fut sympa, malgré un revêtement grossier et quelques véhicules un peu rapides. Lincou, petit village très joli que j’aurais pu visiter mais j’aurais perdu du temps et surtout le rythme que j’avais trouvé. Je passais donc directement au second poste de ravitaillement au pied d’une sérieuse montée de plus de 9km. (km 25,6 en 2h33’).

    La côte me permit de dépasser Carmen et je me suis surpris agréablement en voyant que je montais sans avoir besoin de marcher. Le ravitaillement N° était situé tout en haut, en fin d’ascension : km 35 en 3h32’, j’avais bien couru avec quelques alternances marche-course quand j’avais besoin de manger, boire ou tout simplement récupérer.

    La descente qui suivit nous fit franchir le 1000ème km de la TG depuis Roscoff ; elle devait nous mener à Plaisance, km 44 atteint en 4h27’. Le dernier ravito s’y trouvait. Il ne restait que 11km environ que j’effectuais sous un beau soleil. Heureusement que c’était encore le matin car nous aurions eu chaud. Il y avait encore de l’ombre, pas autant que lors de l’ascension puis de la descente précédentes, mais les petites zones protégées du soleil permettaient de se rafraîchir.

    Je finis l’étape seul, en 6ème position, en 5h36’35s à près de 9,9 de moyenne pour 56km (il y avait sans doute un peu moins) suivi de près par René et Yvonnick, Carmen et Hervé. Les autres de devant m’avaient bien distancés.

    C’est Angel qui remporte l’étape en 5h00’. Bravo petit champion ! Suivent Stéphane, les deux Taïwanais et Patrick, tous à plus de 10 de moyenne ce qui leur vaut de prendre le départ à 7h demain, tandis que nous, on va partir à 6h30. L’étape sera relativement longue (69km) et le dénivelé important  la rendra encore moins facile. En revanche, la beauté des paysages marquera une nouvelle fois les esprits, pour un peu que le soleil soit de la partie dès le matin. Assister à un lever de soleil sur les montagnes et collines du sud du Massif Central, ça n’a pas de prix.

    à+Fab******€*


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  • CR étape 15 : St Cyprien sur Dourdou – Cassagnes-Begonhès (58km officiellement, 57 réels)

    La douceur nous a accompagnés dès le départ de cette courte étape et le ciel couvert promettait une journée agréable, pas trop chaude.

    Le peloton s’est rapidement étiré peu après le départ et un groupe de 6 prit les devants. Je suivais à distance respectable sans chercher à faire la jonction. Je ne souhaitais pas partir trop vite, néanmoins j’avais l’objectif de passer à Marcillac en 1h maximum, avant la raide montée évitant la route « de la mort ». Au sommet nous attendait le ravito N°1 (km15). (Marcillac : 59’30 pour 10,250km ; ravito N°1 : 1h03’ pour 14,750km).

    Je n’avais pas rattrapé les 6 de devant : Stéphane, les 2 Taïwanais, Carmen, Angel et Stephano. La route légèrement bosselée pour nous mener à Rodez était calme et assez plaisante. Au moment où je m’attendais à ce qu’on rejoigne la route dangereuse, le fléchage nous indiqua de tourner à gauche et de suivre un chemin caillouteux. Super bonne trouvaille de Nicole (pendant la MilKil de juin) et ce nouvel itinéraire nous raccourcit l’étape de près de 1000m. Surtout, nous avons tous évité de nous mettre en danger en croisant tous les abrutis à grosse voiture qui sont les rois de la route. Et des comme ça, on en croisera des dizaines en fin d’étape. Plus leur voiture est grosse moins ils doivent en avoir dans le cerveau. Heureusement, les routiers étaient sympas et attentifs quand ils nous croisaient. Je leur faisais à chaque fois un petit signe de remerciement de la main. A l’entrée de Rodez, après avoir cheminé sur une piste cyclable pendant 4 ou 5km, 3h01’ pour 29,2km, il fallait être vigilant pour ne pas s’égarer, même si je connais la route, on ne sait jamais, un changement de dernière minute pouvait avoir modifié le parcours.

    Le ravitaillement N°2 situé juste au pied d’une forte montée me permit de prendre du temps pour récupérer et grignoter quelques bouts de melon, saucisson et pêche. Allez, direction Le Monastère puis la route assez fréquentée vers le ravitaillement N°3 qui va marquer le début de la partie la plus tranquille de l’étape : 3h53’ pour 36,7km. Vivement le km 42 qui marquera le début de la longue descente vers Pont de Grandfuel. J’avais repris du temps sur Carmen et Stephano que je pouvais apercevoir de temps à autres au gré des lignes droites, et quand je suis arrivé au km42, Stephano n’était qu’à 100m devant moi. Bien sûr, il me distança dans la descente. Ma moyenne en profita pour remonter et repasser au-dessus de 9,4km/h, l’objectif final étant de faire moins de 6h pour 57 (ou 58) km. Je déroulais à 12km/h sans gêne particulière, tout en maintenant la vigilance au niveau maximal car les chauffards aveyronnais n’hésitent pas à doubler dans notre dos ou de face même quand le véhicule dépassé se déporte pour nous éviter.

    Ravito N°4 : km 46,5 en 4h54, plus que 10 bornes, le coup était jouable. Je l’ai joué et j’ai réussi mon contrat même si la route remontait relativement fortement pendant 5km. J’avais repris Stephano, l’Italien, avant la fin de la montée, mais sachant qu’il y avait 2,5km de descente avant la ligne d’arrivée, je ne me faisais pas d’illusions quant au final : il allait me reprendre facilement la minute d’avance au sommet et m’en remettre une ou deux par-dessus.

    Au final, je mets 5h56’26, Stephano arrive 1’30 avant et Carmen 1’ avant lui.

    Stéphane gagne devant les deux Taîwanais puis Angel, Carmen, Stephano et moi. Hervé arrive ensuite devant René, Patrick et JeanMichel.

    La pluie s’est invitée à 10km de la fin de cette étape et cela faisait du bien. Par contre, le linge n’a pas séché et demain, il faudra trouver le temps dans l’après-midi de le faire sécher, à Saint-Sernin sur Rance. On va franchir au km 35 le 1000ème km depuis le départ de la TG ; ça se fête et on aura peut-être une petite coupe de quelque chose qui pétille. On verra. Ils annoncent de la pluie pour le début de matinée. Journée ponchos en perspective si cela se confirme.

    à+Fab******€*


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  • Nouvelle belle étape avec un début poussif en raison de la succession de bosses assez raides puis traversée d'Aurillac jusque là ça pouvait aller puis comme prévu nous avons rencontré la circulation mais ce ne fut pas si laborieux que je ne l'aurais pensé (et déjà vécu à plusieurs reprises). Mais un grand ouf de soulagement fut poussé quand je suis arrivé sur la petite route tranquille vers Cabrespine et La Feuillade en Vezie.
    Les jambes sont allées de mieux en mieux et j'ai pu dévaler les deux descentes vers Cassaniouze puis vers Grand Vabre.
    Stéphane gagne devant un Taïwanais (le plus grand des deux du haut du classement) puis suit Angel. 4ème Stephano qui a réussi à monter les côtes et qui descend à 14km/h. Patrick, Carmen et moi finissons en à peine 5' et j'en profite pour améliorer mon chrono de plus d'une minute. Derrière, Hervé qui a eu un coup de mou puis le second Taïwanais (le plus petit) et le duo Alain-René.
    De gros écarts ensuite (pour les détails chronométriques voir le site qui gère la communication).

    Il a fait chaud cet après midi (plus de 25°) et ceux qui sont allés à la piscine ont bien eu raison.

    Demain, c'est du plus court (58km) avec quelques bosses raides et de longues descentes ainsi qu'un faux-plat montant pour finir. Dodo dans le hangar à bestiaux.
    C'est tout pour aujourd'hui, je n'ai plus le temps ni le courage d'en mettre plus.
    à+Fab******€*


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